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Une nouvelle dimension à la coopération interafricaine
J'entends par coopération interafricaine, une coopération culturelle, économique, scientifique et des liens diplomatiques formels avec les Africains du continent comme avec ceux de la diaspora africaine de Cuba, du Canada, du Brésil, de la Colombie, des Antilles, de Haïti, de la république dominicaine, des États-Unis, de la Grande-Bretagne, du Cap-Vert, de l'Uruguay, du Panama, du Paraguay, du Honduras, de l'Argentine, du Pérou, de l'Inde, de la Nouvelle-Guinée, de la Nouvelle-Calédonie, de la Jamaïque, de Barbade, de Mayotte, etc. Il existe des jumelages de villages, de communes européennes avec des villages, des communes d'Afrique. Le bon sens voudrait que de tels jumelages soient d'abord réalisés entre villes, communes ou villages d'Afrique ou de la diaspora africaine. On aurait par exemple Limbe/Nouvelle-Orléans (USA), Kribi/Saint-Martin (Guadeloupe), Douala/Saint-Louis (Sénégal), Bengbis/Anehoh (Togo), Yaoundé/Libreville, Bafoussam/Port-au-prince (Haïti), Garoua/Bamako (Mali), etc.
Les connexions doivent être rétablies. Les liens ancestraux doivent être renoués, parce que l'Afrique j'en suis convaincu se fera avec le concours de tous. C'est vrai que chaque main devra placer un doigt pour boucher un trou afin que l'eau ne s'échappe plus de la jarre qui pourra alors ainsi être remplie de nouveau. Un doigt pour un trou. Un trou pour un doigt.
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